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Encyclopédie - Stark Industries

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  • Membres : Bart Ainslee, Felix Alvarez, Chet Anderson, Marjorie Anderson, Bambi Arbogast, Dr Gray Armond, Amanda Armstrong, Joseph « Joe » Arnold, Joel Arons, Yvette Avril, Geoffrey Ballard (Centurion), Calvin Baxter, David Beaumont, Herbert Bell, Arturos Benning, Veronica Benning, Bradley Benyon, Dr Donald Birch (le Phantôme), Elizabeth Bondi (Croc Blanc), Gallileo « Leo » Braithwaite, Hal Bright, Desmond Burrell, Bethany Cabe, Ted Calloway (Spymaster), David Campbell, Curtiss Carr (Chemistro/High-Tech), Diane Caruthers, Amanda Chaney, Soo Lin Chu, Lee Clayton, Earl Cowan, Mark Cushing, Edward Deal, Margaret Dillon, Charley Dobbs, Geoff Douglat, June Duncan, John Ehrman, Suzi Endo (Cyber-Mancer), Clytemnestra Erwin, Morley Erwin, Joseph « Joe » Faulkner, Wilson Fisk (le Caïd), Forge, Bill Foster (le Goliath noir/Giant-Man/Goliath), Jane Foster (Thor/la Valkyrie), Jake Fox, Friday, Kenjiro Fujikawa, Rumiko Fujikawa, Harmon Furmintz, Jake Fury (LMD), Tso Fwon, Rich Gannon, Simon Gilbert, Philip Grant, Charles « Charlie » Gray, Yoshi Hachiman, Virginia Hanlon, Chester Harrigan, Dr Edward Hawkins, Bertram Hindel, Harold « Happy » Hogan, HOMER, Karaguchi Inoyawa, Sarah Jennings, Michael « Mike » Jochum, Martha Johns, Toshiro Kanada, Sylvia Karnowsky, Kurt Kennison, Joseph Kilman, Ted Kinderman, Yu Kirin, Abraham « Abe » Klein, Takeshi Kobayashi, Jan Kolins, Marc Kumar, Talia Kruma, Scott Lang (Ant-Man), Joseph Liebowitz, Wayne Linnier, Krissy Longfellow (Mme Masque), Eric Lynch, Randy Macklin, Frankie Majors, Eddie March, Harold Marks, Vic Martinelli, Holy McCann, Sally McIntyre, Archie Merchant, Ramona Napier, Kylie Normandy, Kevin O’Brien (le Garde), Cal Oakley, Blane Ordway, Archie Park, Marcy Pearson, Bob Peterson, Artemus Pithins, PLATO, Virginia « Pepper » Potts-Hogan (Rescousse), Jocaste Pym, Ricardo Pruz, Garrison Quint, Katherine Rennie, Madeline Reznek, James « Jim » Rhodes (Iron-Man/War-Machine), Bernard Roberts, Ralph Roberts, Jack Rutledge, Mark Scarlotti (l’Homme au fouet), Norm Seeger, Bill Segrist, Nancy Sekido, Gregor Shapanka (Jack Frost/Blizzard), James Simpson, Jasper Sitwell, Victoria Snow, Dr Erica Sondheim, Tessa Springfield, Obadiah Stane (Iron-Monger), Anthony « Tony » Stark (Iron-Man), Edward Stark, Howard Stark Sr, Howard Stark Jr, Isaac Stark Sr, Isaac Stark Jr, Maria Stark, Morgan Stark, Michael Stockton, Maximilian Stone, Sun-Tao, Fisher Todd, Robert Todd, Michael Trudeau, Wayne Unnier, Anton Vanko (la Dynamo pourpre), Gilbert Vaughn, Nick Walcek, Mary Jane Watson, Anna Wei, Dale West, Tom Wilkins (Endotherm), Atha Williams, Clayton Wilson (sous l’identité de Carl Walker/Force), Roderick Withers, Cherry Wood, Dr Su Yin, Stanley Zane, Ryan Zimm, Abraham « Abe » Zimmer, Arwyn Zurrow
  • Autres noms : les Entreprises Stark, Stane International, Stark International, Stark-Fujikawa, Stark Technologies, Stark West, Stark Unlimited

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  • Base d’opérations : Actuellement aucune, autrefois Long Island (New York, Etats-Unis) et de nombreux centres à travers le monde :
    • aux Etats-Unis : Baltimore (Maryland), Chicago (Illinois), Cincinnati (Ohio), Detroit (Michigan), Houston (Texas), Los Angeles (Californie), Manhattan (New York), Miami (Floride), Portland (Oregon), San Diego (Californie), Seattle (Washington)
    • à l’extérieur des Etats-Unis : Berlin (Allemagne), Dublin (Irlande), Hambourg (Allemagne), Hong Kong (Chine), Londres (Royaume-Uni), Manille (Philippines), Moscou (Russie), Paris (France), Port-au-Prince (Haïti), Rome (Italie), Tokyo (Japon) ; autrefois, le Costa Diablo et la Slorénie
  • Première apparition :
    • Stark Industries : VO : (non identifiée) Tales of Suspense (vol.1) #40 (avril 1963, par Stan Lee, Robert Bernstein & Jack Kirby), (identifiée) Tales of Suspense (vol.1) #45 (septembre 1963, par Stan Lee, Robert Bernstein & Don Heck) – VF : Strange n°2 (février 1970, avec Iron-Man (vol.1) #2 ; Tales of Suspense #40 et #45 ont été publiés dans Iron-Man : L’Intégrale volume 1, d’avril 2008)
    • Stark International : VO : Iron Man (vol.1) #73 (mars 1975, par Tom Orzechowski, Mike Friedrich, Arvell Jones & Keith Pollard) – VF : Strange n°76 (avril 1976)
    • Stane International : VO : Iron Man (vol.1) #173 (août 1983, par Dennis O’Neil & Luke MacDonnell) – VF : Strange n°179 (novembre 1984)
    • les Entreprises Stark : VO : Iron Man (vol.1) #214 (janvier 1987, par Danny Fingeroth & Tom Morgan) – VF : Strange n°219 (mars 1988)
    • la Stark-Fujikawa : VO : Tales of the Marvel Universe #1 (février 1997, par Howard Mackie & Klaus Janson) – VF : Marvel Select n°1 (mars 1998)
    • Stark Solutions : VO : Iron-Man (vol.3) #1 (février 1998, par Kurt Busiek & Sean Chen) – VF : Iron-Man (vol.2) n°1 (mars 1999)

Histoire

stark-industries_4.jpgStark Industries, sous différents noms, est l’une des principales entreprises américaine de conceptions et de fabrications de technologies de pointe, utilisées dans les composants électroniques, l’armement, les systèmes de défense, l’automatisation, la recherche médicale, la recherche scientifique, l’aéronautique terrestre et spatiale et d’autres encore. Le principal centre de la compagnie se situe historiquement à Long Island, dans l’état de New York, mais Stark Industries dispose de branches et de filiales à travers les Etats-Unis et le monde. La firme multinationale trouve sa naissance dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, aux Etats-Unis, sous la forme d’un affaire familiale d’ingénierie et de manufacture dirigée par Isaac Stark Sr. Celui-ci développa de nouvelles technologies électriques et d’ingénierie dans le domaine de la sécurité. Au cours du vingtième siècle, la petite société connut une large expansion, sous la conduite de Isaac Stark Jr et surtout de Howard Stark Sr, petit-fils du fondateur, et devint l’une des principales sociétés industrielles du monde. La société passe ensuite à Howard Stark Jr, fils du précédent, qui acquit la majorité de la société quand son frère Edward choisit de lui revendre ses parts, une décision regrettée par Edward Stark peu avant sa mort. Sous la direction de Howard Stark Jr, Stark Industries devint l’un des principaux partenaires commerciaux du gouvernement américain, fournissant les composants électroniques employés dans l’aviation, les missiles et l’armement moderne. Très considéré pour la qualité et l’innovation de ses produits, Stark Industries (SI) étendit progressivement ses opérations, de telle manière que dans les années 1980, la société concevait et fabriquait totalement des avions, des missiles, des systèmes de guidage, etc., plutôt que de se limiter à la simple fabrication de composants qui étaient assemblés ailleurs. Howard Stark Jr n’hésita pas à tirer partie de l’inventivité de son fils Anthony, afin de développer de nouvelles technologies, tout particulièrement dans la conception de transistors électriques, alors même que Tony se s’intéressait que très peu à la gestion quotidienne de la société. Republic Oil & Gas, une firme concurrent de SI, finança secrètement les assassinats de Howard Stark, et de son épouse Maria, alors qu’ils rentraient chez eux en voiture. Tony Stark fut, du jour au lendemain, propulsé au rang de président de la société, une situation que Republic Oil & Gas espérait exploiter pour le pousser à leur revendre ses parts de l’entreprise.

stark-industries_9.jpg Cliquez ici pour voir le plan de l’usine de Long Island et sa légende en grand

Dans les premiers jours qui suivirent la disparition de ses parents, Tony se reposa uniquement sur sa « secrétaire », Virginia « Pepper » Potts, qui réussit à tenir à bout de bras une société qui avait perdu toute direction. De son côté, Tony, lors d’un voyage pour superviser les opérations de sa compagnie sur le terrain, fut sérieusement blessé par un éclat d’obus, qui se logea près de son cœur. Brièvement détenu en captivité, il conçut alors une plaque thoracique capable de le maintenir en vie en tenant l’éclat éloigné de son cœur, plaque qu’il compléta d’une armure complète. Rentré aux Etats-Unis, Tony présenta « Iron-Man » comme son garde du corps personnel et responsable de la sécurité de son entreprise. Abandonnant le rôle de play boy de la jet set qui avait été le sien jusque là, il s’investit alors dans la gestion de Stark Industries, relançant le développement de sa société, pour la plus grande consternation de Republic Oil & Gas, bientôt rebaptisée la Roxxon Oil Company. D’une entreprise multimillionnaire, Stark Industries passa à une société multimilliardaire. Potts demeura à ses côtés tout au long de cette époque, de même que son chauffeur, Harold « Happy » Hogan. Par ailleurs, avoir un héros célèbre et médiatique associé à la compagnie améliora grandement l’image publique de Stark Industries. Les nombreux contrats militaires et assimilés dont bénéficiait SI conduisirent à l’intervention, et parfois des conflits, du sénateur Harrington Byrd. Après qu’Iron-Man avait aidé à fonder les Avengers, SI fournit une grande quantité d’équipements spéciaux à la nouvelle équipe. Mais, un élément clé de l’expansion, et du succès, de SI fut la fondation de l’agence internationale d’espionnage et de renseignement du SHIELD, dont il intégra lui-même le conseil international de direction. L’organisation nécessita très rapidement un équipement de très haute technologie et les références solides de SI avec le gouvernement, ainsi que le renom de Stark comme inventeur, permirent à la société d’obtenir la place lucrative de premier fournisseur du SHIELD. Stark lui-même fut directement impliqué dans la conception et la fabrication de la quasi totalité de la technologie lourde du SHIELD, de son énorme héliporteur volant et de sa station spatiale abritant un petit équipage jusqu’à l’armement personnel des agents et les instruments de surveillance miniaturisés. SI commença à ouvrir des usines à travers les Etats-Unis et l’Europe, afin de répondre rapidement aux vastes besoins technologiques du SHIELD. Cette situation poussa le SHIELD à dépêcher son propre homme de liaison, l’agent Jasper Sitwell, chargé de s’assurer de la sécurité des installations de SI. Pour refléter le développement mondial de son entreprise, désormais implantée sur les sept continents et dans une trentaine de pays, Stark changea finalement le nom de celle-ci pour en faire Stark International.

stark-industries_2.jpgA ce moment-là, Stark avait diversifié les clients de sa société au-delà du SHIELD, en étendant son expertise dans d’autres domaines, au-delà des technologies de l’armement et de l’aviation, qui avaient été les bases de la création de la société. Suite à une crise de conscience, en partie née de sa relation avec Roxanne Gilbert, Tony Stark finit par mettre un terme au contrat exclusif de SI avec le SHIELD, et en l’espace d’une année, abandonna totalement la fabrication d’armements. Stark se retira du secteur sans brusquerie, fournissant au SHIELD d’innombrables équipements en avance, mais le comité directeur du SHIELD fut néanmoins mécontent que l’esprit inventif de Stark ne leur serait désormais accessible que pour des technologies pacifiques et de maintien de la paix. Se tournant vers d’autres compagnies pour leurs besoins en armement, le comité directeur du SHIELD fut de plus en plus déçu par la qualité du travail et ils tentèrent un rachat massif, mais secret, des actions de la compagnie, dans le but d’y acquérir une position dominante et, ainsi, de contraindre SI à reprendre les marchés d’armement. Cependant, Tony Stark fit échec à leur tentative de racheter les actions du grand public en les devançant, assurant ainsi la place de SI parmi les entreprises privées. Progressivement, Stark s’entoura d’un personnel brillant et dévoué, parmi lesquels son responsable des relations publiques, Artemus Pithins, son assistante de direction Bambi Arbogast, après le départ de Potts, son chef de la sécurité Vic Martinelli, son pilote Jim Rhodes ou encore sa vice-présidente Yvette Avril.

Peu de temps après cela, l’entrepreneur et homme d’affaires européen Obadiah Stane commença à son tour à s’intéresser à Stark International, décidant d’en devenir l’actionnaire majoritaire, voire unique. Par le biais d’une série de manœuvres complexes, dont plusieurs dans la totale illégalité (du simple sabotage industriel à la guerre psychologique contre Stark lui-même, le poussant dans l’alcoolisme), Stane réussit à prendre la présidence et la direction de SI. Stark refusa de travailler sous les ordres de Stane et quitta la compagnie fondée par son père. Stane rebaptisa alors la société Stane International et reprit rapidement la fabrication d’armes pour le SHIELD, ce qui conduisit à suspecter une connivence entre l’organisation et Stane pour la prise de contrôle de SI. La plupart des proches collaborateurs de Stark démissionnèrent, refusant de travailler pour Stane. Quand Tony Stark, redevenu sobre et prêt à reprendre sa vie en mains, se retrouva, en Californie, partie prenante d’une start-up d’électronique, baptisée Circuits Maximus, l’excentrique Obadiah Stane s’intéressa de nouveau à son ancien rival. Joueur d’échecs insatiable, Stane pensait qu’il avait totalement et définitivement brisé Stark et fut stupéfait de voir les efforts de ce dernier pour reprendre une place sur le marché. Aussi, Stane reprit ses complots contre Stark, découvrant qu’il n’était autre qu’Iron-Man (un fait qu’il avait suspecté depuis longtemps mais rejeté quand Jim Rhodes remplaça quelques temps Stark sous l’armure). Les machinations de Stane conduisirent à la mort de Morley Erwin, l’un des nouveaux associés, et amis, de Stark, poussant celui-ci à redevenir Iron-Man pour faire face à Obadiah Stane. Les techniciens de Stane conçurent à leur tour une armure basée sur d’anciens schémas de Stark, que Stane porta alors sous le nom d’Iron-Monger. Stane provoqua Stark afin de le combattre physiquement ; vaincu, Stane préféra alors se suicider sous les yeux de son adversaire plutôt que de reconnaître sa défaite.

stark-industries_5.jpgStark, sous son identité d’Iron-Man, avait été le seul témoin de la mort de Stane et le personnel de sécurité de SI fit rapidement disparaître le cadavre décapité par un répulseur. Stark décida de ne faire aucune tentative pour récupérer la présidence de Stane International, préférant au contraire recommencer de zéro. Ainsi, la mort de Stane ne fut jamais évoquée dans les médias et il disparut simplement de la circulation du jour au lendemain. Seul Stark, quelques-uns uns de ses proches, le personnel de sécurité de SI et les hauts responsables du SHIELD étaient au courant de la situation. Stane International continua ainsi à être le premier fournisseur d’armement et de technologies du SHIELD. De son côté, Tony Stark fonda une nouvelle société à Los Angeles, les Entreprises Stark, recrutant plusieurs de ses anciens employés, comme Arbogast, tout en engageant de nouveaux cadres, tels Marcy Pearson aux relations publiques, Garrison Quint comme chef de la sécurité, Abe Zimmer comme programmeur informatique et, enfin, l’avocat Felix Alvarez. Les Entreprises Stark grandirent rapidement, d’autant que Stark se lança dans une politique d’acquisition de sociétés de moindre taille, comme Accutech, Barstow Electronics, mais aussi des firmes solidement établis comme la Cordco (Cord Conglomerate), fragilisé par la condamnation de son président, Edwin Cord. Pendant ce temps, Stane International se retrouvait entre les mains de Justin Hammer, un homme d’affaires véreux et ancien rival de Stark et d’Iron-Man à la fois. Du coup, Stark tourna son attention vers son ancienne société et obligea Hammer à lui revendre l’entreprise. Cependant, sous la direction de Stane puis de Hammer, SI s’était lancé dans de nombreuses affaires douteuses et la mauvaise réputation de SI ne tarda pas à rejaillir sur les Entreprises Stark. Tony Stark dut faire le ménage et se débarrassa des opérations risquées, immorales ou illégales, dans lesquelles Stane International avait été impliqué.

stark-industries_3.jpgDurant une période où Tony Stark passa pour mort, ayant lui-même simulé son propre décès afin de pouvoir faire soigner par cryogénie son système nerveux défaillant, James Rhodes fut nommé au poste de président-directeur-général des Entreprises Stark. Mais Rhodes démissionna avec fracas de la société quand Stark réapparut, révélant la supercherie, et reprit ses fonctions. Lorsque Stark trouva véritablement la mort sous son identité d’Iron-Man, en combattant Immortus (Nathaniel Richards) et ses laquais aux côtés des Avengers, les Entreprises Stark furent rachetés par la firme japonaise Fujikawa International. Les deux sociétés fusionnèrent pour devenir la Stark-Fujikawa. Toutefois, Tony Stark, en même temps que les héros disparus en affrontant Onslaught, réapparut quelques mois après. Cependant, comme précédemment, il ne tenta pas de récupérer son entreprise et fonda, à nouveau, une nouvelle société, baptisée Stark Solutions, offrant ses services pour régler les difficultés rencontrées par les institutions le sollicitant. De son côté, la Stark-Fujikawa rachetait Oracle Incorporated, une entreprise fondée par Namor d’Atlantis, le prince des mers, puis la compagnie de Daniel Rand (Iron-Fist), la Rand-Meachum Company. Ironiquement, durant cette période, Tony Stark commença à fréquenter Rumiko Fujikawa, la petite-fille de Kenjiro Fujikawa, le président de la Stark-Fujikawa. Finalement, quand Stark décida de reprendre possession de l’entreprise familiale, faisant l’acquisition, ce faisant, d’Askew Electronics et de la Donahue Corporation, Rumiko Fujikawa donna à Stark les dernières actions qui lui étaient nécessaires pour avoir une position dominante au conseil d’administration. Stark reprit la tête d’une vaste multinationale, qui reprit le nom de Stark Industries.

stark-industries_6.jpgLorsque Tony Stark fut nommé au poste de secrétaire à la défense du gouvernement américain, il s’éloigna des affaires quotidiennes de son entreprise. C’est alors qu’un de ses anciens rivaux en affaires, Clarence Ward, lança un assaut dévastateur contre SI, tuant au cours de celle-ci la jeune Rumiko Fujikawa. Dans les semaines qui suivirent la tragédie, Fujikawa International retira ses intérêts de Stark Industries, ainsi que des compagnies satellites comme la Rand-Meachum. Peu après, Stark Industries fit l’acquisition de Futurepharm, une firme qui venait de mettre au point le dangereux virus Extremis, que Stark espérait ainsi mettre hors d’atteinte du grand public. La nomination de Stark à la tête du SHIELD après l’adoption du Superhuman Registration Act (SRA) éloigna de nouveau l’industriel de la gestion courante de SI, qui fut assurée principalement par Virginia Potts-Hogan.

Au cours des années, Stark Industries a, de manière quasi permanente, travaillé en collaboration avec le gouvernement américain et le SHIELD, mais aussi des entités telles que Starcore, la Voûte, le Projet : PEGASUS, les Avengers, les Nations Unies et le Havre, une association de protection pour les femmes. De plus, la société a absorbé plusieurs autres entreprises, ou a développé des filiales spécialisées ; il en est ainsi d’Accutech Research & Development, Askew Electronics, Barstow Electronics, la Cordco, Donahue Corporation, Funtime Inc., Smart Green Technologies et de Stark Bio-Film Reasearch, Stark Heavy Industries, Stark Insurance, Stark Light Time Computing, Stark Robotics, Stark Super Dynamics, Stark Solutions, Stark Heart Foundation et aussi des œuvres de bienfaisance ou caritatives : la Fondation Maria Stark, l’hôpital pour enfant du Mémorial Maria Stark, la clinique Stark d’aide à la lutte contre la dépendance (les deux derniers étant implantés dans la Tour Stark de New York). Parmi les différentes sociétés avec lesquelles SI a été en affaire, il est possible de citer : Akane Fusion Developments, Carter Steel, Electrolang, Fujiyama Industries, Marsten Manufacturing, Optech, Pendyne Inc. et Skyrise Incorporated. A l’opposé, la société se retrouva en concurrence avec Baintronics, Cross Technological Enterprises, Gilbertech, Hammer Industries, Horgan Manufacturing, Marrs Corporation, Moroboshi International, Osborn Industries, Roxxon Oil Company/Corporation, Trinational Commission, Viastone, Ward Industries et Williams Innovations.

stark-industries_7.jpgBien que SI finit par cesser de produire des armes et des munitions, ses nombreux autres domaines de recherches et de productions couvrent l’anti-gravité, l’aéronautique, les applications informatiques, la bionique, la communication mobile, la communication satellitaire, la conception de semi-conducteurs, la conception de sous-marins, la cryogénie, la cybernétique, la déflexion lumineuse, l’énergie nucléaire, l’énergie thermique, les énergies alternatives, le forage, l’holographie, l’ingénierie aérospatiale, l’ingénierie automobile, l’ingénierie de la sécurité, l’ingénierie textile, l’intelligence artificielle, la nanotechnologie, la protection radiologique, les protections par systèmes énergétiques, la reconnaissance vocale, la robotique, les systèmes de guidage, la technologie médicale et les télécommunications. Sur le marché, SI a conservé les deux logos des Entreprises Stark et de Stark International et commercialise ses produits au travers de deux branches principales : Starktech (pour le hardware) et Starksoft (pour le software). Parmi les réalisations de SI figurent : la clinique Stark Center, les êtres holographiques Friday, HOMER et PLATO, les Ateliers (l’ancien quartier général de Force Works) dont sa salle de combat virtuel, le Hexjet et l’Ordinateur du Chaos (tous les deux pour Force Works), d’innombrables armures d’Iron-Man mais aussi celles portées par Jim Rhodes, par les Gardes ou encore les Mandroïdes, les robots de type LMD (Life Model Decoy/Simulacre de Vie Modélisé), les héliporteurs du SHIELD, la station spatiale du SHIELD, le satellite Stark One, le Cervosaure, l’usine électrique sous-marine du Projet : Neptune, l’Enervateur, l’Homme-Quintronique, les équipements des différentes équipes de Avengers ou encore certains modèles de Sentinelles utilisés par l’O*N*E.

Peu avant la destitution de Stark à la tête du SHIELD, Stark Industries fut prise pour cible par Ezekiel Stane, le fils d’Obadiah, qui voulait ainsi venger son père. Tout au long d’une campagne terroriste à travers le monde, il porta de sévères coups à la compagnie, détruisant un grand nombre de ses installations à travers la planète. Peu après, Stark, jugé responsable de l’invasion des Skrulls sur la Terre, fut limogé et dut éviter l’arrestation en fuyant les soldats du HAMMER, l’agence qui venait de remplacer le SHIELD et était dirigée par Norman Osborn. Suivant les dernières recommandations de Stark, Pepper Potts-Hogan revendit les restes de SI à Osborn, qui en intégra les éléments dans sa propre société. Après la chute d’Osborn, lors du siège d’Asgard, et la réhabilitation publique de Stark, celui-ci décida de concevoir une nouvelle entreprise, Stark Résistance, tournée vers le développement de technologies futuristes. Aux côtés d’anciens collaborateurs (Potts-Hogan, Rhodes ou Arbogast), il recruta un nouveau personnel de recherches comme Carson Wynche, Leonard Pimacher, Tim Cababa ou Walter Macken. Quand Stark fut pris pour cible par le Mandarin, il confia la gestion de Stark Résistance à Potts, afin de veiller à la sécurité de son entreprise. Quelques temps après, lorsque Stark fut victime d’une inversion morale au cours du conflit baptisé la Guerre mondiale de la haine, il s’installa à San Francisco commercialisa le virus extremis, qui devint rapidement la pierre angulaire de Stark Industries. Quelques mois après, alors que Stark avait recouvré son sens moral, la compagnie connut un effondrement spectaculaire à cause des erreurs de gestion de Stark et ses activités héroïques ; le conseil de surveillance de la société accusa la direction de l’entreprise, alors que Stark avait provisoirement disparu pour une mission secrète, causant une nouvelle dégradation de la société. Stark finit par revenir et rétablir la situation mais le conseil de surveillance demeura fortement hostile à l’inventeur.

Peu de temps après, Tony Stark sombra dans le coma au cours de la seconde guerre civile de la communauté héroïque américaine, les rênes de la compagnie passèrent à sa mère biologique, Amanda Armstrong, qui ne tarda pas à déléguer ses responsabilité à Friday, l’intelligence artificielle et assistante de son fils. Mais, à cause de la chute des actions, le directeur du conseil de surveillance, Eric Lynch, convainquit les autres membres de renvoyer Armstrong du poste de présidente. Quand le corps comateux de Stark disparut, Lynch prit le contrôle de l’entreprise, s’autodésignant comme nouveau directeur. Mais Lynch fut rapidement contacté par le criminel Hood (Parker Robbins), convaincu qu’il existait un lien entre la disparition du corps de Stark et le comportement héroïque de Victor von Fatalis, qui avait repris l’identité d’Iron-Man. mais, avant que Hood ne puisse contraindre Lynch à lui céder ses parts de Stark Industries, Fatalis attaqua Robbins et son syndicat du crime avec une armée de Fatalibots télécommandés, bientôt suivi d’un Iron-Man revenu à la vie et de War-Machine (Jim Rhodes). Après la tentative de prise de contrôle par Lynch, Stark fonda une nouvelle entreprise, Stark Unlimited, qui absorba Stark International, Stark Solutions, Stark Résistance et plusieurs autres filiales de Stark.

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Stark Industries est le nom d’une entreprise réelle, basée à Houston – au Texas – et qui fabrique des compresseurs à haute pression (http://www.starkindustries.com/).


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