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Encyclopédie - Trask, Simon

2. Encyclopédie

Temps estimé pour la lecture de cet article : 3 minutes.

• Véritable nom : Simon Trask
• Profession : Politicien, leader de la coalition « le Front Humain », meurtrier de masse
• Statut légal : Citoyen des Etats-Unis, avec un casier judiciaire
• Identité : Publiquement connue
• Autres identités : Aucune
• Lieu de naissance : Inconnu
• Situation de famille : Céibataire
• Parents connus : Donald Trask Sr (père, décédé), Lawrence « Larry » Trask (neveu, décédé), Tanya Trask (Mme Sanctity, nièce, officiellement disparue), Donald Trask Jr (frère, décédé), Bolivar Trask (frère), Donald Trask III (neveu, décédé)
• Appartenance à un groupe : Ancien leader du Front Humain, du Dernier Bastion de l’Humanité, du faux Front de Libération Mutant
• Base d’opérations : Actuellement en prison, autrefois San Francisco, Californie, Etats-Unis
• Première apparition : VO : Uncanny X-Men (vol.1) ‘95 # 1 (Octobre 1995, par Terry Kavanagh, Bryan Hitch et Bob McLeod) – VF : X-Men (Marvel France - 1° série) n° 1 et 2 (février et mars 1997)
• Taille : Non révélée
• Poids : Non révélé
• Yeux : Bleus
• Cheveux : Blonds

Histoire

Frère du défunt Bolivar Trask, l’inventeur des Sentinelles, Simon partageait sa haine des mutants, sans se reposer toutefois entièrement sur les robots chasseurs de mutants. Afin de combattre ce qu’il appelait la « menace mutante », il fonda le Dernier bastion de l’Humanité, un mouvement rassemblant des fanatiques anti-mutants. Un des meetings de son mouvement fut infiltré par les frère et sœur mutants Rocket et Husk (Sam et Paige Guthrie), alors à la recherche de leur sœur Joelle qui avait rejoint le mouvement. Tandis que Rocket fut attaqué par une Sentinelle, Husk fut confrontée à un des gourous du mouvement, Garibaldi. Rocket parvint à leur échapper et à appeler les X-Men à l’aide qui se rendirent sur les lieux du rassemblement pour sauver Husk et détruire les sentinelles présentes. Trask ne s’arrêta toutefois pas là et il transforma son mouvement en parti politique. Il fonda également un faux « Front de Libération Mutant », calquée sur la vraie équipe de terroristes mutants. Pour monter son propre FLM, Trask recruta des mercenaires humains qu’il équipa d’armures cybernétiques imitant des pouvoirs mutants ou leur injecta des drogues aux effets similaires. Il rencontra cependant l’opposition du Punisher (Frank Castle) allié au Bourreau (Carl Denti) et à l’agent du SHIELD Kymberley Taylor qui attaquèrent son quartier général. Trask ne se montra alors pas plus tendre avec ses agents qu’avec les mutants. En effet, il n’hésita pas à assassiner Burnout (Kristine Calverly) lorsque le Bourreau lui échappa puis Blindspot (Kylie Kopeikin) lorsque cette dernière s’opposa à son plan de faire exploser la ville d’East Buffok. Il fut alors trahi par l’une de ses agents, Thermal (Carol Peterson) qui l’avait vu assassiner Blindspot et qui rejoignit le camp du Punisher. Acculé, Trask déclencha l’explosion de son quartier général et fut alors apparemment tué, essayant de devenir un martyr pour sa cause.

Contrairement aux autres membres de son faux FLM, Trask survécut à l’explosion de son QG et ne refit surface qu’après le Jour-M, jour où plus de 90% des mutants perdirent leur gène X à cause de la Sorcière rouge (Wanda Maximoff). Après la réinstallation des X-Men à San Francisco, de nombreuses organisations anti-mutantes s’opposèrent à eux, dont Trask, désormais à la tête du parti politique « le Front Humain». Trask avait fait évoluer son propre corps, se dotant d’un toucher capable d’infecter ses victimes de nano-sentinelles transformant en sentinelles biochimiques dont le but était l’éradication des mutants. Trask fut à l’origine de la fuite dans la presse du massacre de Cooperstown, en Alaska. Il apparut à la télévision où il accusa les mutants des meurtres et dommages causés par les Maraudeurs de M. Sinistre et par les Purificateurs qui étaient à la recherche du premier enfant mutant né depuis le Jour-M à Cooperstown. Trask annonça également la création de la proposition X, un projet de loi portant sur le contrôle de la reproduction des mutants, proclamant que chaque naissance d’un nouvel enfant mutant serait la cause d’un désastre.

La proposition X fut bientôt adoptée et Trask se rendit à San Francisco pour tenter de forcer les mutants à s’y soumettre. Dès lors, des émeutes éclatèrent un peu partout dans la ville et des affrontements eurent lieu entre pro et anti-mutants. Blessé au cours de l’un de ces affrontements, Trask fut transporté à l’hôpital. A son réveil, il se mit à infecter toutes les personnes qu’il touchait avec son virus techno-organique pour créer une légion de sentinelles biochimiques. Sa légion fut cependant détruite par les Dark X-Men et Trask fut arrêté. Les agissements de Trask poussèrent cependant les X-Men à quitter San Francisco pour fonder une nation mutante indépendante au large des côtes de la Californie. Cette nouvelle nation fut fondée sur l’ancien astéroïde M remonté du fond de l’océan et fut nommée Utopia. Trask n’a pas refait parler de lui depuis lors.

Pouvoirs

Simon Trask s’est injecté des nano-sentinelles qu’il peut transmettre par simple toucher et qui transforment ses victimes en sentinelles biochimiques dédiés à l’éradication des mutants.

Aptitudes

Simon Trask est un excellent orateur et un communiquant.