de malgorn » 02 Nov 2010, 00:47
voilà une pub que j'ai trouvé de lui:
Présentation générale
Ce livre, « l’héritage maudit », est un retour aux sources du style thriller- fantastique, une nouvelle rencontre d’un groupe d’adolescents anodins avec leurs plus grandes peurs.
C’est un voyage, pour le lecteur, dans les bas- fond de la psyché avec visite de la folie, la peur, la fureur.
C’est en quelques mots l’histoire d’une bande d’adolescents partant en vacance dans les campagnes du centre de la France et qui va payer pour les erreurs d’une famille bourgeoise du village en question.
Les différents personnages devront errer à travers leurs plus grandes terreurs et faire appel à leur plus primaire instinct pour espérer survivre.
Des dissensions, des alliances plus ou moins contre nature, des choix et des sacrifices difficiles à faire, etc.; Nos héros visiterons les tréfonds de leurs êtres.
Quatrième de couverture
Et si vous héritiez d’un richissime oncle lointain?
Un héritage considérable: richesse, domaine, prestance…
Un héritage maudit: terrible secret, ennemi d’outre- tombe…
Et si vous partiez en vacance avec vos amis dans les campagnes du centre de la France?
Des vacances au soleil, à vous baigner dans les lacs de la région, rencontrer de nouvelles personnes…
Des vacances qui, au final, vous emprisonneront dans les bas- fonds de votre psyché, vous feront goûter à vos effrois les plus terribles…
Et si tout cela était lié? Et si d’inconscients voyageurs dévoilaient involontairement le lourd secret d’une famille bourgeoise, réveillant un insatiable ennemi venu de l’au-delà pour se nourrir de la peur la plus élémentaire?
Biographie
Je me nomme Gilles PELISSIER.
Jeune écrivain des Pennes Mirabeau, j’étale en ces lignes ma vision du monde tel qu’il est, tel qu’il pourrait être si l’imaginaire ne l’était pas.
Tirant mon inspiration de grands écrivains tels que Stephen King, Dean Koontz, James Herbert et tant d’autres, je puise ma connaissance de la psyché humaine dans mes expériences professionnelles en institut psychiatrique, en intervention en tant que marin- pompier et, étonnamment, en élevage canin pour ce qui est de l’instinct primaire.
Mes premiers écris se contentaient de narrer des scénarii lors de jeux de rôles qui se poursuivaient, pour certain, sur des dizaines de mois, se perdant dans des complexités scénaristiques entremêlant l’être et le non- être, torturant les personnages dans des choix cornéliens ou faisant éclore des paranoïas au sein même des joueurs.
En quelques mots, j’écris pour me faire et faire plaisir mais surtout pour faire ressortir ce côté noir et pourtant si humain qu’est la survie, la fuite de la raison dans la folie. Pour mettre en valeur des symboles comme l’amour et la haine, le bien et le mal et montrer que la limite entre ces paradoxes est si fine qu’elle est parfois difficile à discerner; les démons sont- ils ce que l’on croie? Les anges ne sont-ils pas aussi cruel, si ce n’est pire, que les démons?
oh capitaine, mon capitaine